Nouveau dérapage verbal de Georges Frêche à Gignac

Publié le par christine guillaume



Réaction
. Georges frêche a pris le préfet  et le député pour cible lors de l’inauguration du mas de Rtte qu’il quitte avant la fin

 

Tir à vue

Au départ de la polémique : le protocole qui définit l’ordre de prise de parole. Georges Frêche n’ a pas supporté que le député Lecou  parle après lui. Prétextant que,  « contrairement à la région, il n’a pas donné un sou  » Dans le feu de l’action, avec la diplomatie légendaire du président de la Région, tout le monde en a pris pour son grade. A l’adresse du  Préfet Claude Baland «  vous ne servez à rien », au député  « vous n’amenez rien d’autre que votre incompétence » Et pourtant il l’a dit lui-même «  je reste modéré « Menace à peine voilée , il ajoutait «  si je suis réélu à la présidence,, ça va tonner le canon, seuls les investisseurs pourront parler » Effet théâtral, sans attendre la fin des discours, Georges Frêche quittait la salle souhaitant néanmoins « une bonne matinée » au Préfet. Le représentant de l’Etat quand a lui n’est pas sorti de la réserve liée à ses fonctions « Je ne vais insulter personne, Je représente l’Etat, et les valeurs de la République.. Je reste digne comme un préfet doit l’être ». Un dérapage qui a suscité pas mal de réactions dans l’assistance. Pour certains  « il a pété les plombs », pour d’autres «  c’est son baroude d’honneur  ». Quoi qu’il en soit en dehors de quelques irréductibles, de l’avis général «  il est allé trop loin ».


NB obtenu par la rédaction en chef :

- Georges Frêche s’en est ensuite expliqué avec la rédaction de l’Hérault du Jour « Toute mese
 en lumière du travail réalisé- « La Région a mis 40 millions d’euros à parité avec l’Etat, le département apportant les 10% restants – doit respecter l’action conduite par les isntitutions.Elles ne peuvent servir de prétexte à de sopérations de récupérationds politicienne, montées pour satisfaire les intérêts de quelques députés locaux.

 

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